Le poirier ‘Honey Sweet’, modérément résistant aux maladies, est un excellent choix pour les jardiniers amateurs. Ressemblant beaucoup au ‘Seckel’, l’un de ses parents, ce cultivar produit de belles poires de couleur vert-jaune, souvent teintées de rouge. Ses fruits se distinguent par leur goût riche, épicé, aromatique, et aussi sucré que du miel. Leur texture fondante et délicate en fait un véritable plaisir à déguster. La récolte a généralement lieu début septembre.
Ce cultivar a été développé à l’Université Purdue est issu d’un croisement réalisé en 1955 avec le poirier ‘Seckel’.
Autofertile, ‘Honey Sweet’ est une option intéressante pour les jardins de petite taille, bien qu’une pollinisation croisée avec un autre poirier européen puisse améliorer les rendements.
Le poirier ‘Honey Sweet’ est un hybride moderne ressemblant au ‘Seckel’. Ce cultivar a été créé en 1955 par un croisement entre ‘Seckel’ et US 220 (Vermont Beauty x Roi Charles de Wurtemburg. Il a été choisi parmi 137 semis cultivés à l’Université Purdue, en raison de sa résistance au feu bactérien, aux dégâts causés par l’hiver, et pour la qualité de ses fruits. Il a été introduit en 1979.
Le poirier commun ou Pyrus communis est une espèce qui provient d’Europe et d’Asie de l’Ouest. En nature, le poirier peut devenir un très grand arbre, il peut atteindre jusqu’à 20 mètres de hauteur. On recense des milliers de cultivars différents cultivés dans plus de 80 pays dans le monde. Ce qui en fait un des fruits des plus cultivés dans le monde. La plupart des cultivars que l’on connaît proviennent de semis et les caractéristiques qui en découlent sont aléatoires.
Des preuves archéologiques nous montrent que les poires étaient consommées par les humains bien avant la domestication des poiriers qui serait apparue à l’époque du néolithique (environ 6000 av. J.-C.) Des écrits détaillés sur les poiriers datent de l’époque de la Grèce antique et de la Rome antique où l’on retrouve des détails sur la culture et la greffe des poiriers. Pline l’ancien, écrivain romain du 1er siècle après J.-C., avait déjà recensé une quarantaine de poirier et l’appelé « le cadeau des dieux ».
Au XIXe siècle, en France, on pouvait consommer des poires 11 mois sur 12 grâce à tous les cultivars différents. C’était un fruit très apprécié par tout le monde même au sein de la noblesse. Différentes expressions en français comme « couper la poire en deux » ou « garder une poire pour la soif » nous démontre son importance.
Accéder à toutes ces informations lors d’un projet de conception ou consultation avec nous :
fiche technique ( tolérances et besoins, sol… ), entretien, maladies et ravageurs et bien sûr ses fonctions et utilisations médicinales et comestibles.
Poirier ‘Honey sweet’
Pyrus communis 'Honey sweet'
'Honey sweet' pear
Rosacea
Pyrus
communis
'Honey sweet'
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